Le bruit du fer à sessé de battre sur le champs de bataille, depuis maintenant six heures le combat fait rage.
Doucement, la rage semble s'éffacée des rangs pour laisser sa place au crépuscule, ce doux mélange de couleurs aux nuances de feu.
Le couché de dame AMATERATSU, et le sang répandu de toutes parts, donne une vision hypnotisante de ce moment que seuls les berserkers peuvent connaitre.
La transe, cet équilibre entre les éléments perd de sa ferveur et donne naissance à un sentiment de faiblesse au moins aussi puissant que celui de la rage quelques minutes avant.
Nos yeux noirs nous différencient de ceux qui tombes, mais c'était leur choix, maintenant c'est à nous de les ramener en soutien.
Notre choix cétait fait à la deuxième partie de notre enseignement, bien trop souvent les berserkers étaient un poids pour les armées du CRABE ,et certains d'entre nous ont donc choisi de suivre les enseignements du dojo de la voie des yeux noirs, ce dojo nous a appris à maitriser la rage.
Bien combattre pour un berserker c'est connaitre l'intensité de furie mais aussi savoir quel prix elle fait payer, à tous moments de la bataille.
Et c'était justement ce prix que les autres berserkers étaient en train de payer, je donne des ordres à mes hommes.
Mes sens reviennent peu à peu à moi,une brulure me fait souffrir et je suis génné pour ramasser HIDA ARAZAKI (chui de la section voisine, tombé assomé par le tetsubo d'un ogre) , la douleur se fait plus vive et mes jambes fébrillent plient sous le poid de la souffrance, ma poitrine transpercée porte toujours ce yari et si je veux aider ARAZAKI il me faut l'ôter, voilà maintenant que ce yari est cassé il sera plus facile à enlever.
ARGGHHHHHHHHH !!!
Quelle folie m'a pris, c'était insoutenable sans comter que maintenant je n'avais plus la force de porter mon ami, alors comme ça m'est déjà arrivé j'appela le vide en moi, et cet éffet bizard mais agréable se reproduisit et mes jambes se dressèrent avec mon ami dans mes bras.
je rejoignai les lignes de soutien, fier de notre combat et affaibli, mais fier.
_DOKKO !!!
_DOKKO- c'était le commandant - un méssager IRUMA vient de me prévennir que le seigneur KUNI............. veux te rencontrer à HIZASHIMAYA MUZA .
_Mais TOSHIDEN SAMA, mes hommes et moi avons bientôt triompher de oni no kyufuji et ses laquais, et ce village portuaire se situe au beau milieu des terres du CRABE, je ne peux laisser tomber aussi pret de la victoire.
_DOKKO , les KUNI ne sont pas des modèles de patience -ne discutes pas- quand à oni no kyufuji tu l'as détruit en lui brisant la cage toracique avant de lui faire manger du jade, ne t'en souviens tu pas !!!
_Absolument pas, mais si vous dites vrai alors partir dans les montagnes du CRABE m'est maintenant plus supportable.
_DOKKO, tu mettras tes hommes sous le commandemant d 'HIDA ARAZAKI ,et passeras au temple te purifier,je dois superviser l'installation du camp et recenser les morts avant que les kunis ne les purifient, ne me fait pas perdre mon temps !
C'était maintenant seigneur ONNOTANGU qui faisait place, mes affaires étaient prètes depuis hier soir, l'outre monde est symbole de cauchemar et revenir dérrière la muraille symbolisait le réveil.
_TOHIDEN sama, je suis pret, que les fortunes vous accompagnes maitre et j'espère que nos chemins se recroiseront.
_Je doute fort que les fortunes s'aventurent dans cet enfer de souillure DOKKO, il n'y a que des fous pour venir combatre jusqu'ici, mais j'apprécie ta solicitude, ton destin t'attends DOKKO, tu es tellement différents de nous autres, jamais un berserkers n'a porté autant d'attention à l'égard de ROKUGAN et des autres clans.Tu sais où me trouver, aller disparait de ma vue !!! (que les kamis t'accompagnes DOKKO)
_ADIEU TOSHIDEN SAMA.
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