Mon front perlait de sueur, ça faisait maintenant six heures que je marchais sur le chemin de YAZUKI HANKO, mais je savais que j'y prendrai le dernier bateau pour me rendre à HIZASHIYAMA MUZA.
La campagne est plutôt jolie, très verte et cultivée, en fait très différente des terres du sud ouest où le combat contre l'outre monde ne nous laisse guerre de temps pour nous en occuper.
hier, j'ai rencontré un homme pas ordinnaire, un coursier, jusque là rien d'extraordinaire, mais celui ci était aveugle, plutôt surprenant non !
C'était dans cette auberge, où le saké coûte très cher, faut dire que je n'ai pas les faveurs de DAIKOKU, l'auberge du cerisier fleuri, un bel établissement appartenant à un vieux samouraï de la famille YAZUKI.
Elle est le lieu de passage de beaucoups de commerçants et de voyageurs cherchant à relier les terres du CRABE d'un bout à l'autre.
Je marchais dans cette ruelle où les bonnes éfluves de riz parfumé se faisaient omniprésentes, et à coup sûr vous ouvraient l'apéti, ce qui me mit en quète d'un bon repas et d'un endrois où passer la nuit.
Quelques minutes plus tard, j'abordais un viellard :
_bonjour, viel homme, connais tu une maison où le riz et le logement son à la hauteur de mon rang ?
_oui, samouraï !! biensûr, un peu plus loin sur votre droite se trouve une auberge digne de vous, on y sert les meilleurs plats de la rue, je comte justement y passer la soirée!!
_bien, merci à toi viel homme, nous pourrons prendre le temps de nous connaitre ce soir, et peut etre que.................Mais ! est ce là ton baggage!! que peux tu donc bien transporter ?Et ton accent n'ai pas d'ici!
d'où viens tu viel homme et puis d'abord comment te nomes tu ?
Il avait ri de mon étonnement et de mes questions bien plus rapides que ses réponses, nous sommes donc parti ensemble à cette auberge, mes questions trouvèrent alors leur salut !!
il se nomait ZATO, un samouraï sans maitre, mais très cultivé et très peu maladroit pour quelqu'un atteint de cécité, le repas me fit le plus grand bien, mais les derniers jours passés avait été fatigants, de plus le seigneur KUNI................ n'attendrait pas très longtemps mon arrivée, je parti donc dans ma chambre me reposer pour la nuit en faisant mes adieux à ZATO.
AMATERASTU envoya ses rayons illuminer ma chambre, et déjà cet oiseau de malheur sonnait le levé, la route m'attendait et de savoir que c'était ma dernière journée à pieds me réjouissais, aussi tôt mon thé terminé, je sotit de l'établissement pour suivre mon destin.
A la sortie de va ville l'orage se mit à honnorer OSA-NO-WO, et la pluie battait les rizières avec un brouillard à couper au tanto, plus loin sur le chemin je pouvais distinguer quelques silouhaites sans pouvoir pour autant les énumérer. Un différent devait animer ces paysans car même d'où je me tenait je pouvais percevoir que le ton montait.
Le devoir d'un samouraï honnorable est de protéger ses paysans, c'était donc l'occasion pour moi de corriger celui qui comettait une faute, et semait le trouble dans les rizières.
_à ben oui c'est ça être samouraï !!!
J'accélèrais le pas et me rapprochais assez vite du tumulte, quand un détail frappa mon esprit, la voix du plaignant, je la connaissait, et maintenant ç a ne faisait aucun doute car j'était assez proche pour le reconnaitre.
_UN PROBLEME ZATO, que te veulent ces ronins ?
_AHH!! DOKKO, ces hommes veulent me dépossèder de mon colli, ce sont sans doute des bandits de grand chemin, il profitent de ma faiblesse pour m'entourer et me menacer.........
_ET, vous ronins quelle est votre version ?
_crois tu pouvoir joué les magistrats, tu n'as aucunes autorité sur ces terres; passes ton chemin et tu auras la vie sauve, où alors retournes à KIUDEN HIRUMA !!!!!!!!!(rires des autres à la ken le survivant)
_AHHHHHHHHHHHHHH!!,qui ôse blasphèmer, en parlant de la forteresse de ma famille !!
FURIE s'emparait de moi, mes courbatures de ces derniers jours s'éffacèrent pour laisser place à la rage, cet afront devait etre lavé, personne, non personne ne pouvait se permettre une telle insulte envers un HIRUMA.
ET puis comme à l'habitude le calme revint, la pluie avait céssée, et le vent s'était levé, AMATERATSU nous carraissait de nouveau avec ses doux rayons, et mes sens renaissaient, s'ouvrant à la réalité.
ZATO se trouvait quelques metres plus loin, calme et serin, au sol se trouvait quatre hommes, l'un devait souffrir beaucoup, mais plus les autres, ceux là ne souffrirait plus d'aucuns mal.
_DOKKO, te sens tu bien ?
Le ton du viel homme avait changé et un détail ne collait pas du tout à la scène, dans ma main se trouvait un tetsubo,
et les trois hommes innertes portait des coups de katana ou peut etre de wakisashi, seul l'homme dont les genoux se plient à l'envers et dont la machoire tombe portait des traces de mon couroux.
_ZATO, est ce toi qui a............enfin je veux dire que mon daïsho, n'a pas bougé de son saya.
_ne t'iquiètes pas furie du CRABE, j'ai maintenant bientôt cinquantes printemps, et ce n'est pas ces pes imbéciles qui me retarderont dans mon travail !!
_mais tu avais l'air en difficulté face à eux !
_ça DOKKO c'est ce que tes yeux t'ont fait croire, mais ton esprit, l'as tu intéroger ? c'est là mon grand avantage DOKKO, je regarde avec la clarté de mon esprit, et nuls yeux te ferons voir aussi loin et aussi bien.
Mais tu as un coeur pure DOKKO, et cela vaut tous les yeux du monde samouraï, prends toujours garde à qui t'entourent, les gens ont tous leurs secrets et tous leurs défauts.
Je te remercies pour ton aide, mais je pars en direction des térritoires LICORNE, et la route est encore longue pour moi.
On raconte que les méssagers font un voyage sans fin DOKKO, alors si toi aussi tu voyages nous nous recroiserons, peut etre dans un an, peut etre dans dix,et peut etre jamais.
Le viel homme repartait, et son voyage recommançait.
Moi un KUNI m'attendait, je repris donc la route avec à l'esprit la leçon du viel homme.
quelque chose au sol gémissait, et génait le passage de ma sandale, je finit le travail.
AMATERATSU redoublait de puissance, mieux vallait pour moi de ne pas arriver trop tard.
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